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Grant Alexander accueille 3 talents pour accompagner le développement de son activité Executive Interim

 

 

Pour soutenir sa stratégie de croissance sur le métier du management de transition, Grant Alexander renforce ses équipes

 

 

Acteur historique sur le marché du recrutement par approche directe, Grant Alexander poursuit son développement de cabinet multi-spécialiste de conseil et services en ressources humaines, en proposant à ses clients de les accompagner, depuis 2016, sur leurs besoins ponctuels et urgents en compétences opérationnelles sur les fonctions CODIR via le management de transition. En 4 ans, et grâce à une très forte croissance de cette activité, Grant Alexander a réussi à se positionner parmi les acteurs incontournables du métier.

 

Dans un contexte de transformations accrues au sein des entreprises, le cabinet renforce aujourd’hui sa capacité à les accompagner et poursuit ainsi sa stratégie de développement avec le recrutement de trois personnes.

 

Antoine Grenet et Matthieu Jan rejoignent le groupe en qualité de Directeurs Associés.

 

Diplômé de SKEMA Business School en 2006, Antoine Grenet débute sa carrière au sein de Danone sur des fonctions de développement commercial en France puis à l’international, en Asie, Afrique et Océanie. Il prend en charge successivement au sein de Kraftfoods puis Mondelez international, le développement de catégories, la négociation avec les grands comptes puis la Direction Nationale des Ventes. Acteur de nombreuses transformations pendant plus de 14 ans, il développe une expertise globale de la conduite du changement et de l’évolution des organisations.

 

Diplômé de l’université Panthéon Assas (Paris II) complété d’un Master en Marketing, Matthieu Jan débute son parcours professionnel en commercialisant l’offre d’une des premières plateformes web de réservation hôtelière. Il rejoint ensuite une filiale d’Ipsos, spécialisée dans le traitement de la donnée, où il occupe successivement des fonctions clefs en marketing, suivi clients puis en direction commerciale. Il rejoint en 2016 un pure player du management de transition pour y développer la practice « Industrie ».

 

Anne-Claire Ohara vient renforcer l’équipe Talent Assessment.

 

Diplômée d’un Master 1 AES à l’Université Panthéon-Assas et d’un Master 2 en Développement des Ressources Humaines à l’Institut Catholique de Paris, Anne-Claire Ohara intègre un cabinet d’Executive Search en tant que chargée de recherche, avant de rejoindre une société de portage salarial où elle accompagne des dirigeants entrepreneurs dans leur activité de conseil. Elle prend ensuite en charge le recrutement et l’animation d’un réseau de consultants et de managers de transition qui interviennent auprès de PME, pour le compte d’une banque publique d’investissement.

 

« Nous sommes très heureux d’accueillir Antoine, Matthieu et Anne-Claire au sein de notre équipe dédiée à l’activité d’Executive Interim, qui compte maintenant 10 personnes et s’étoffera encore dans les mois à venir. Anne-Claire est une experte du sourcing et de l’assessment et nous apporte sa connaissance fine des managers de transition et de l’animation de communautés. Antoine, de par son expérience de la conduite du changement dans le secteur agro-alimentaire, nous permet de renforcer notre capacité à aider les organisations dans leurs différents projets de transformation, avec un focus sur le développement de la région Grand Ouest. Matthieu, enfin, connaît très bien le métier et accompagne déjà depuis plusieurs années de nombreuses entreprises sur leurs besoins en transition. Son expérience et son appétence pour les outils digitaux vont être de vrais atouts pour soutenir notre développement » souligne Alban Azzopardi, Directeur Général de Grant Alexander – Executive Interim.

 

A propos de Grant Alexander

Depuis  30 ans, Grant Alexander accompagne les entreprises et organisations de toute taille dans le recrutement par approche directe de dirigeants, managers et experts qui sauront servir leur performance. Aujourd’hui, ce cabinet multi-spécialiste de conseil et de services en Ressources Humaines, propose une démarche pluridisciplinaire pour apporter une réponse globale aux DRH et DG, autour de 4 expertises complémentaires : approche directe de cadres dirigeants et profils rares, management de transition et de transformation, développement des compétences managériales, conseil et accompagnement des DRH. Pour accompagner le développement de la performance managériale, Grant Alexander a développé une méthodologie propriétaire, conçue avec des coachs sportifs et préparateurs mentaux : l’Athlete Thinking®.

Le cabinet compte aujourd’hui 50 collaborateurs et intervient partout en France à partir de bureaux implantés à Paris, Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse, et à l’international, grâce à un réseau de partenaires.

 

Contacts : 

 

Alban Azzopardi

Directeur Général

Grant Alexander – Executive Interim

06 33 01 56 35

alban.azzopardi@grantalexander.com

 

Emmanuelle Farand

Directrice Marketing et Communication

Grant Alexander

06 75 88 32 93

emmanuellef.farand@grantalexander.com



Le management de transition 4.0, c’est maintenant !

 

Le management de transition se développe et évolue. Loin des idées éculées qui laissent encore croire que l’Executive Interim est la chasse gardée des mercenaires et le royaume des situations de transformation lourde, Alban Azzopardi en livre une tout autre version. Celle d’une nouvelle façon d’envisager le travail en mode projet. Celle d’une génération qui arrive actuellement aux commandes des entreprises : la génération Y.

 

 

Le management de transition a évolué avec les nouvelles formes de travail. De quelle manière ?

Avant toute chose, il faut sortir de l’idée restée dans l’esprit de beaucoup de cabinets qu’un manager de transition est un mercenaire. Ce qui prime n’est pas le statut mais la fonction. Etre manager de transition n’est pas en soi un gage de professionnalisme. S’il peut arriver exceptionnellement que l’esprit du mercenariat soit une clé de succès dans un contexte de changement rapide et complexe, cela ne supplante pas la compétence professionnelle, cela la complète. Charge donc au cabinet d’Executive Interim d’identifier la disposition d’un manager à exercer son métier à un moment T de manière temporaire.

Le rôle du cabinet est de détecter la compétence face à la mission donnée et la capacité à travailler en mode projet du candidat.

« Etre manager de transition n’est pas un métier mais une façon spécifique d’exercer son métier. »

Il existe donc une dimension mentale importante au-delà des compétences professionnelles ?

Bien sûr. Cela est vrai dans tout recrutement mais particulièrement en management de transition. Etre capable de prendre les bonnes décisions dans des contextes parfois houleux, en maîtrisant son environnement, savoir travailler en mode projet, en équipe, pouvoir déployer la palette d’atouts que sont la confiance, la détermination, l’adaptation, tout en gérant ses émotions, font les caractéristiques d’un bon manager de transition.

Notre rôle est de vérifier ces qualités en sus des compétences techniques. La méthodologie Athlete Thinking que Grant Alexander a développée pour appréhender et faire évoluer les dimensions mentales des candidats est un plus à cet égard. Mais encore une fois, être un mercenaire n’est pas une finalité en soi ; être manager de transition n’est pas un métier mais une façon spécifique d’exercer son métier !

 

Si ce n’est pas du mercenariat, alors comment définissez-vous le management de transition ?

C’est l’esprit de la chasse de tête adapté au mode projet. Il s’agit d’apporter la bonne compétence externe pour répondre à un besoin spécifique. La différence est la temporalité : en Executive Search, on met quelques semaines voire quelques mois pour trouver quelqu’un qui va rester quelques années en CDI et évoluer dans l’entreprise alors qu’en Executive Interim, on a quelques jours pour proposer quelqu’un qui va rester seulement quelques mois. Qui plus est, la mission est orientée sur un angle précis qui n’est pas toujours d’occuper une fonction dans sa globalité. De plus en plus de managers de transition n’ont pas fait du travail en mode mission un choix de carrière définitif mais cela correspond à leur parcours à un instant donné de leur vie professionnelle, avec une réelle plus-value pour l’entreprise.

 

Peut-on dire que l’équilibrisme est une notion qui correspond bien à l’Executive Interim ?

Oui et non. Pour ce qui est de notre intervention de cabinet conseil, il est vrai que nous devons faire preuve d’agilité et de perspicacité. Mais en ce qui concerne l’esprit des missions que nous devons pourvoir, c’est loin d’être toujours le cas.

Penser que l’Executive Interim correspond forcément à des situations de transformation lourde est encore une idée reçue obsolète. Le relais managérial est une raison fréquente de recours au management de transition. Il n’en demeure pas moins que si le contexte est moins équilibriste, les enjeux sont tout aussi cruciaux pour une entreprise que ceux d’une restructuration : un cadre dirigeant est un rouage majeur de la direction d’une entreprise et son absence peut être critique.

Qui plus est, ces notions ne s’excluent pas l’une l’autre : une mission de transformation en situation de crise devra presque toujours être suivie d’une période de relais ; et une mission relais peut aboutir à une transformation qu’il faut savoir gérer. La rénovation est d’ailleurs parfois plus difficile que la reconstruction.

 

Quelle est la place du conseil et des process de suivi dans votre modèle ?

C’est le candidat qui fait le succès de la mission. La méthodologie qu’apporte le cabinet doit être un plus pour améliorer la prise en main et la rentabilité de la mission, pas un passage obligé fait de procédures normatives sans valeur ajoutée.

Notre rôle de conseil consiste à apporter le talent adapté à la situation et à accompagner la mise en place efficace de la mission. Superviser la pertinence et le bon déroulement de la relation entre le manager et l’entreprise sans chercher à y suppléer est notre philosophie. Elle repose sur des relations respectueuses, claires, éthiques et durables.

Le candidat n’est pas une « marque blanche vendue par un cabinet d’Executive Interim », c’est un partenaire qui, autant que le cabinet, met en jeu sa réputation à chaque mission. Nos relations avec les managers de transition et avec les clients sont basées sur la confiance et la transparence.

« L’esprit de la chasse de tête adapté au mode projet. »

Comment s’inscrit le management de transition dans les modes de travail à venir ?

Le travail en mode projet tend à se banaliser sous l’effet des évolutions rapides de marchés. Un manager de transition est un individu qui se meut dans l’univers professionnel avec souplesse et une grande capacité d’adaptation. Or, on voit aujourd’hui arriver aux postes de direction les managers issus de la génération Y, qui est justement composée de professionnels globalement très à l’aise avec le travail en mode projet.

De fait, la mission de transition n’est pour eux qu’une façon d’exercer leur métier à un moment donné, qui n’exclut pas de travailler en CDI lorsque l’entreprise est porteuse d’un projet qui les anime.

 

 

Les 4 piliers du management de transition chez Grant Alexander :

  • agilité (dans la recherche),
  • pertinence (du profil),
  • souplesse (du format contractuel),
  • expertise (du candidat).

 

Alban Azzopardi est Associé fondateur de Grant Alexander Executive Interim.

 Mai 2017